UNE ÉTUDE QUI LIE POUDLARD AUX RELATIONS PROUVE QU’EN AMOUR AUSSI, LES SERPENTARDS ONT DES CHANCES DE NOUS LA FOUTRE À L’ENVERS
Crédit : Warner Bros. France
Le site de rencontre OkCupid sort un sondage qui prouve que chaque wannabe sorciers a des envies particulières niveau amour selon s’il est Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle ou Serpentard.
Nos maisons en disent long sur notre personnalité. Les Gryffondors sont supposés être braves, les Serdaigles intelligents, les Poufsouffles loyaux et les Serpentards ambitieux. On se souvient aussi quels sorciers ont rejoint l’Armée de Dumbledore en masse (les Poufsouffles, meilleure maison malgré ce qu’en disent les jaloux), et les grands absents aux côtés d’Harry lors de la bataille de Poudlard : les Serpentards – qui comptent aussi le plus grand nombre de sorciers qui ont vrillé parmi ses rangs.
Si tous ceux que le Choixpeau placera sur les mêmes bancs que Drago Malefoy ne finiront pas forcément par servir l’homme sans nez, ils auraient cependant bien des chances de nous la foutre à l’envers niveau amour. Une étude menée par OkCupid, le Meetic anglo-saxon, explique ainsi que l’on peut déterminer les envies amoureuses de chacun selon quelle chambre commune on aurait côtoyé.
En faisant participer les inscrits à un court sondage qui demandait aussi à quelle maison ils appartiendrait (le vrai test se trouve sur Pottermore), le site a découvert que les Gryffondors aimeraient que leur prochaine relation soit la dernière, que les Poufsouffles et les Serdaigles veulent s’engager mais pas non plus pour 20 ans et que les Serpentards… ne sont clairement pas là pour rencontrer l’amour avec un grand A, mais bien pour un coup d’un soir.
Alors après, il n’y a évidemment rien de mal à prendre un peu de bon temps. S’amuser avec quelqu’un qui ne veut rien de sérieux non plus, c’est le pied. Le tout, c’est de le savoir et d’être sûre que c’est aussi ce que l’on souhaite. Personne n’a envie de finir le nez dans un pot de glace arrosé à la vodka façon Bridget Jones parce que Goyle nous aura ghostée.
> Article de Pauline Machado
