Crédit : Parc Asterix / Peur sur le Parc
Par Toutatis c’est bientôt Halloween ! Même le plus célèbre des Gaulois aime se faire peur, alors viens avec lui à la plus terrifiante des fêtes, avec des journées et des nocturnes spéciales pour frissonner d’amusement.
Que tu sois encore un petit Gaulois ou un grand qui a déjà affronté César et ses légions romaines, tu trouveras ton bonheur pendant les journées « Peur sur le parc », du 6 octobre au 4 Novembre 2018. Avec quatre nocturnes, le 31 octobre et le 1er, 2 et 3 novembre, sans oublier des journées prolongées le 13, le 20, le 27 et le 30 novembre, vous pourrez profiter au maximum de cette expérience incontournable.
Crédit : Parc Asterix / Peur sur le Parc
Des animations endiablées pour les Gaulois les plus téméraires et les plus drôles, comme La Colère d’Anubis, au Musée du Havre, après un inventaire d’une antique collection égyptienne des esprits ont été libérés. Restez sur vos gardes et évitez de les provoquer pendant votre séjour.
Ou encore La Foire au 6 Trouilles, à la rédaction nous saluons le petit jeu de mot sympa, où lors d’un parcours maudit dans une fête foraine des plus effrayantes vous allez rencontrer les créatures démoniaques qui s’en sont emparées.
Mais aussi tout un monde végétal à découvrir dans la Forêt d’Idéfix, un jardin vivant où les druides en herbe pourront rigoler au grand air.
Plusieurs représentations du spectacle magique « Magna Maleficus » auront lieu, dans lequel un personnage effrayant, ensorceleur de père en fils avec des pouvoirs hypnotiques vous fera peut-être perdre la tête. Sortilège ou malédiction, il tranchera pour vous.
Crédit : Parc Asterix / Peur sur le Parc
Des nocturnes toujours plus époustouflantes, avec un spectacle feu et percussions « Inferno », le Drakkar fantôme qui défilera dans le parc en fin de soirée pour vous offrir un dernier frisson et bien sur un spectacle de son et lumière sur le temple d’Oziris, toutes les heures à partir de 18h30.
Crédit : Parc Asterix / Peur sur le Parc
De quoi vous donner l’eau à la bouche sur vos petites bouilles de citrouilles.
> Article de Justine Roux