INCLUSIVITÉ ET NOUVELLES HABITUDES POUR CE SPOT PUBLICITAIRE DUREX

Dans ce monde d’après, Durex met l’accent sur nos nouvelles habitudes, en particulier celle du préservatif. Dans un spot publicitaire diffusé outre-Manche, la marque met l’inclusivité et la protection sexuelle à l’honneur.

Le nouveau spot publicitaire anglais de Durex s'est fait remarquer pour son inclusivité et sa mixité.
Crédit : Womanizer WOW Tech on Unsplash
Le nouveau spot publicitaire anglais de Durex s’est fait remarquer pour son inclusivité et sa mixité.
Crédit : Womanizer WOW Tech on Unsplash

Il s’est fait remarquer. Le dernier sport publicitaire britannique de Durex suit celui de Disney.  Dans sa nouvelle campagne de prévention, nommée « Let’s Not Go Back To Normal », la marque de préservatif profite du climat de la Covid-19 pour questionner nos pratiques sexuelles. Qu’elles soient hétéro ou homo, qu’elles soient classiques ou extravagantes, avec ou sans amour, mais surtout qu’elles soient protégées.

 » Pendant trop longtemps, la norme n’était juste pas suffisante. La norme, c’était trouver des excuses nulles pour ne pas porter de capote. La norme, c’était de shamer les femmes juste parce qu’elles en avaient sur elles. La norme, c’était un million d’IST inutiles ».

Entre inclusivité et nouvelles habitudes

Un rappel nécessaire mais aussi un effort d’inclusivité remarquable de la part de Durex. Deux mains métisses se caressent, une femme et un homme en fauteuil se promènent dans un parc, deux hommes se câlinent au lit, deux femmes s’embrassent passionnément en pleine nature… Le spot publicitaire se compose, en effet, de courtes scènes de couples d’horizons tous très différents.

Pour la marque de préservatifs, cette année touchée par la pandémie de coronavirus représente une opportunité de revoir notre utilisation du préservatif. Alors que se protéger et protéger les autres n’a jamais été aussi important, Durex encourage le réflexe de la capote. Que ce soit pour un coup d’un soir, ou comme moyen de contraception pour des couples, la question ne devrait plus se poser.

Article de Aurélie Rodrigo

Partager sur :

Vous pourriez aimer...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *