THE BODY SHOP ET DOVE : PLUS FORTS ENSEMBLE

Les marques The Body Shop et Dove ont décidé de s'allier pour lutter contre l’expérimentation animale en tapissant les murs de l’Europe.

Cette semaine, les plus grandes villes européennes telles que Paris, Berlin, Madrid ou encore Milan vont voir leurs murs recouverts d’une peinture choc mise en œuvre par The Body Shop et Dove, afin de lutter contre l’expérimentation animale. Une fresque qui sera accompagnée d’un slogan percutant : « Rejoignez-nous pour mettre fin aux tests sur les animaux et sauver les cosmétiques sans cruauté animale en Europe ».

On croyait avoir enterré la hache de guerre

En 2013, l’Europe interdit les tests cosmétiques sur les animaux grâce à une loi dédiée. Mais aujourd’hui, l’Agence Européenne des Produits Chimiques (AEPC) demande de nouvelles exigences. Ce qui a malheureusement pour risque de conduire des milliers de bêtes à être empoisonnées et même tuées pour la création de mascara, ou encore de rouge à lèvres.

Il a donc fallu réagir, et vite, afin de maintenir cette loi dans nos écrits. C’est ce qu’ont fait Dove et The Body Shop en collaborant avec Nina Valkhoff, une artiste et activiste internationale originaire des Pays-Bas. Connue pour ses compositions botaniques prenant la forme d’animaux rares et en voie de disparition, elle a été contactée par les deux marques de cosmétiques afin de les aider à sensibiliser la population européenne. Et cela a été un pari gagnant ! Une œuvre d’art unique et bouleversante qui représente un futur bien sombre a vu le jour partout en Europe.

Ce n’est pas tout ! Car les deux labels vont aussi joindre leurs forces à celles de plusieurs organisations telles que Cruelty Free Europe, Human Society International (HSI), Eurogroup for Animals, et ECEAE. Le but : mobiliser rapidement 1 million de signatures, pour assurer le maintien des lois et interdire définitivement le test de cosmétiques sur les animaux.

Maintenant, c’est à vous de jouer, en signant cette pétition qui nous permettra à coup sûr de sauver Ralph.

http://savecrueltyfree.eu

 

Un article d’Ismaella Diallo

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