5 RAISONS D’ADOPTER LE BLOND POLAIRE CET ÉTÉ
En plus de faire ressortir joliment notre peau encore diaphane avant trop de soleil, le blond polaire reste une couleur assez discrète. Ses tons froids tirent davantage vers le platine (sans virer Paris Hilton à ses heures les plus sombres) que vers le miel, et nous permettent de miser sur une originalité accessible qui ravira les moins téméraires de la bande. On fait le point sur les 5 raisons pour lesquelles passer le pas.
1. Adieu les reflets roux Crédit : Pinterest/archzinefr
Contrairement aux colorations dites plus chaudes, le blond polaire ne comporte aucune nuance qui pourrait de près ou de loin virer au roux, ni au jaune criard, d’ailleurs. On connaît vos craintes, qui sont les nôtres également, et on comprend donc complètement qu’à moins de choisir volontairement un joli roux façon Jessica Rabbit ou Chastain, vous ne souhaitez pour rien au monde vous retrouver avec des mèches « orange » dans votre blond.
Crédit : Pinterest/attention_vla_l
De votre total-look immaculé à des touches plus vives (voire carrément fluos), il se marie sans souci avec une garde-robe pour le moins éclectique. Pas de risques de jurer, ses nuances quasi transparentes et surtout complètement glaciales riment avec caméléon – si on le dit vite.
Pour celles et ceux qui veulent un changement en ligne avec les tendances du moment, sans pour autant opter pour des cheveux couleur bonbon, le blond polaire reste une couleur dite « naturelle » (surtout si on a des ancêtres scandinaves) sans être classique. On peut également choisir son intensité : de quasi blanc à plus argenté.
5. Le blond polaire peut joliment survivre à quelques racines
Crédit : Pinterest/lebourgeois53
Car à moins de passer faire des retouches chez le coiffeur toutes les deux semaines, la couleur naturelle viendra rapidement pointer le bout de son nez. Heureusement, le blond polaire reste élégant avec quelques millimètres plus foncés au niveau du crâne – ce qui peut même sublimer le regard !
Alors, à quand la transformation capillaire ?
> Article de Pauline Machado