HEIST RÉVOLUTIONNE LE COLLANT CHAIR EN L’ADAPTANT À TOUTES LES COULEURS DE PEAU
Bonne nouvelle : la marque Heist Studios a choisi de relancer l’iconique et pourtant détesté collant chair au printemps 2018. Si la tendance nude bat son plein, l’enseigne londonienne relève le challenge de remettre cet effrayant accessoire au goût du jour. Et pour ravir toutes celles qui aimeraient tester le retour de ce bon vieux collant, Heist appelle les femmes du monde entier à partager leurs propres nuances de teint. L’objectif ? Que toutes les carnations de peau y trouvent leur compte. Oui, c’est canon.
En effet, nombreuses sont les enseignes à ne proposer qu’une teinte pour leurs produits. Et comme nous n’avons pas toutes la même carnation de peau, il est difficile de trouver son bonheur. La diversité étant laissée de côté au profit d’une seule et unique nuance chair, les boutiques de lingerie et prêt-à-porter sont régulièrement pointées du doigt sur Instagram ou encore Facebook. Les consommatrices réclament des vêtements adaptés aux différentes couleurs de peau et origines de chacune, une production donc plus coûteuse mais moins stéréotypée. La réalité, en somme.
Heist, le challenge d’un collant chair adapté à chaque nuance de teint
L’enseigne propose désormais sur son site un outil permettant aux femmes de partager leurs propres nuances de teint. Une ôde à la diversité que l’on ne peut que féliciter. Une fois que des milliers de participantes à l’échelle internationale auront participé, Heist Studios sera disposé à imaginer une longue liste de tonalités pour ses fameux collants chair. Et donc ravir ses clientes, dans leur quasi-totalité.
Selon Hellie Howard, Head of Community chez Heist Studios, l’objectif de cette campagne intituée #mynude serait de prouver aux autres marques qu’il est possible d’élaborer une palette de déclinaisons nude adaptées aux besoins des consommatrices. Une fois la gamme de collants lancée, la griffe de bodywear compte partager ses échantillons avec d’autres enseignes pour qu’elles puissent à leur tour décliner leurs collections et proposer des gammes considérées comme universelles.
> Un article de Margaux Rouche