Le Refugee Food Festival remet le couvert pour une cinquième édition. Au programme : de la découverte, du partage et surtout beaucoup de gourmandise. Bien plus qu’un simple évènement, il s’agit d’une ode à la convivialité et à l’appréciation de patrimoines culinaires différenciés. Intrigué.e ? On n’attend plus et on lit ce qui suit !

Refugee Food Festival : késako ?

Contrairement à ce que sa dénomination laisse présager, le Refugee Food Festival ne se limite pas à un évènement annuel. Ce temple de la food se scinde en cinq pôles : à l’event se greffent un restaurant d’insertion prénommé La Résidence et situé au Ground Control ; un service traiteur ; une formation en cuisine et des évènements gourmands en continu durant l’année.

Le noyau dur du projet : contribuer à l’évolution positive des mentalités sur les réfugié.e.s, booster l’insertion professionnelle de pépites en devenir et rassembler les individualités multiples, tout ça à travers le prisme de la table.

La saison 2020 : un festival automnal

Habituellement orchestrée lors de la Journée Mondiale des réfugiés, l’édition 2020 organisée dans 15 villes de l’hexagone se voudra cette fois automnale. Le principe demeure le même : une cinquantaine de cuisinier.e.s réfugié.e.s feront tinter les casseroles dans les cuisines de restaurateur.ice.s français.e.s.

Et pour les food lovers se trouvant sur la capitale, voici le lieu coup de cœur où se réfugier le temps de quelques bouchées. On réserve son 24 octobre (à partir de 12h) chez Polpo, avec aux manettes de cet embarquement vers l’Amérique du Sud : Yann Lesueur et Luis Angel Ramirez Gamarra, chef refugié péruvien. Au bout de la fourchette : un ceviche à vous émoustiller le palais, une paëlla aux fruits de mer et, pour les becs sucrés une création au Dulce de Leche.

Plus une minute à perdre, embarquement immédiat vers une Odyssée gustative en cliquant par ici.

Véritables spots des vacances, les rooftops ont fait office de seconde maison durant la période estivale. Il est vrai que l’expérience est plus qu’appréciable : un verre de Spritz à la main, une vue panoramique à couper le souffle sur Paris et quelques grignotes pour chapeauter le tout. On fait le point.

S’octroyer une expérience iodée signée Tortuga

Il a affolé la jungle urbaine parisienne avec Créatures ; Julien Sebbag revient en force sur le toit des Galeries Lafayette avec Tortuga, un nouveau concept à l’identité toujours aussi marquée. Ici, le noyau dur demeure le maître des mers qu’est le poisson, mais pas n’importe lequel. En effet, ne seront dressés dans nos assiettes que des produits salins saisonniers, locaux et issus d’une pêche sauvage.

Aux fourneaux, le chef prend parti pour des techniques de cuisson ancestrales et des saveurs aux couleurs des contrées bordant le Pacifique. On débute le voyage en se délectant d’un pepsy tartare de thon rouge de Méditerranée, escorté de kiwi jaune, de menthe et de zaatar. On continue l’escapade en se laissant séduire par le poisson mystère (selon l’arrivage), fumé, fourré au romarin et rôti en croute de sel. On atterrit en douceur grâce à l’onirique tarte déstructurée à la poire pochée, hibiscus et prune en cristaux.

S’enivrer de mets raffinés et asiatiques avec MUN

Depuis le 8 septembre dernier, s’est invité au 52 avenue des Champs-Elysées un toit-terrasse singulier : MUN. Ce bijou à l’initiative de Laurent de Gourguff et Paris Society, incite les habitants de la ville lumière à se fondre dans un décor et à participer à un voyage initiatique sur les routes d’Asie.

En terrasse, on s’installe à l’une des tables et l’on profite d’une vue à 360 degrés en dégustant un divin cocktail passé au shaker par Aurélien Fleury.

A l’intérieur, on est plongé.e dans une ambiance tamisée, emplie de tissus texturés et de motifs fleuris. Pour remplir les estomacs affamés :  Julien Chicoisne et Roland Puse. Ces derniers s’évertuent à revisiter les classiques bien connus des consommateurs. Au sushi-bar sont ainsi mis en lumière sashimis, california rolls, gyozas et même yakitori au charbon de bois. Par ailleurs, l’expression « circuit-court » ne tiendrait pas mieux ses promesses que dans ce cas précis, puisque la base des assiettes provient du potager de la terrasse.

Découvrir le lieu intimiste de l’Hôtel de Crillon, Bonsoir Paris

Pour célébrer comme il se doit la réouverture de l’institution du Crillon, l’écrin végétal accolé à la Suite Bernstein ouvre exceptionnellement ses portes au grand public, pour un instant de gourmandise et de délectation en petit comité.

Tout en s’émerveillant d’une vue panoramique « waouh », on sirote l’un des rafraîchissants cocktails standards réalisés par les mixologues de la Maison. Et quand la faim se fait sentir, pas de panique, on se laisse séduire par la planche du chef composée de 6 tartines. On vous glisse même les associations préférées de la rédaction : fromage frais, figue, miel et pignons de pin ; légumes grillés et ricotta au pesto ; et enfin saumon fumé, fromage frais et concombre.

Il y a quelque chose qui nous dit que vous allez apprécier prendre de la hauteur…

Pour encore plus d’adresses décadentes, rendez-vous sur Paulette Map.

https://www.instagram.com/p/CE13tBThTM1/

Au sein même de la capitale, il ne cesse de fleurir ça et là de petits joyaux culinaires, avec aux manettes des chefs à la créativité sans borne. En effet, une nouvelle génération de jeunes talents pas encore trentenaires s’est esquissée, mettant en lumière les produits du terroir. Tour d’horizon de ces profils qui assureront la relève du patrimoine gastronomique français.

Alexia Duchêne – Wanderlust

A tout juste 24 ans, la demi finaliste de la dernière saison de Top Chef fourmille de projets. Après avoir fait ses preuves en tant que seconde de cuisine au sein du restaurant Passerini et tout au long de la célèbre émission, la jeune femme fera tinter jusqu’au 27 septembre prochain, les casseroles du Wanderlust Street food, dans un joyeux brouhaha communicatif.

On y retrouve des recettes classiques de la street food, twistées dans un élan estival et contemporain. Avis aux amateurs, la pizza tomate datterino, ricotta, courgette, piment ainsi que le chou-fleur rôti surmonté d’un lit de yaourt au curry sont à ne pas manquer !

Matthias Marc – Substance

C’est un fait, le CV de Matthias Marc, chef du restaurant Substance, est plus que bien brossé. Preuve en est, à 26 ans, le cuistot est reconnu comme jeune talent au Gault & Millau. Par le passé, il a notamment officié au sein d’institutions mythiques à l’instar du Meurice, de Saint James ou de Racines des Prés.

Au cœur de son antre raffiné et bleuté, il signe une cuisine respectueuse de la saisonnalité, végétale, ingénieuse et moderne. On y vient pour déguster son dorénavant cultissime soufflé au chocolat Sao Tome, marié à une glace au sapin.

Manon Fleury – Ex-cheffe Le Mermoz

Le parcours de notre cheffe est pour le moins atypique, puisqu’il allie à son don pour la cuisine celui du sport de haut niveau. Véritable baroudeuse ayant travaillé à New York et en Grèce en tant que cheffe privée, elle suit l’ensemble des marqueurs fondant la cuisine du moment : la mise en exergue des produits de qualité made in France et le crédo « anti-gaspi ».

Son ultime expérience, jusqu’à présent, demeure l’adresse parisienne Le Mermoz, dans laquelle elle soumettait une cuisine responsable et écologique. Stay tuned, Manon Fleury n’a pas fini de faire parler d’elle.

Guillaume Sanchez – NE/SO

Ayant foulé le parquet de Top Chef lors de la saison 8, le visage de Guillaume Sanchez est familier aux amateurs du divertissement. Primé chef de l’année, étoilé au Guide Michelin et même auteur, ce génie des fourneaux demeure une personnalité plus que singulière.

A travers NE/SO, il invite les fins gastronomes à succomber à une cuisine mêlant avec subtilité les produits ancestraux qui enracinent notre patrimoine, à des méthodes et des dressages contemporains.

Quentin Lechat – T’ Time du Jardin Privé

Vainqueur du Grand Prix de la Pâtisserie de Paris grâce à sa création « Noisette 3 », Quentin Lechat n’a pas fini de faire tourner les têtes à coup de douces gâteries sucrées. Et dire qu’il se prédestinait au départ à un parcours des plus classiques en droit et en sciences politiques.

A l’initiative du T’ Time du Jardin Privé, sorte de bulle onirique nichée au sein du Novotel des Halles, on se laisse aller à l’ivresse de ces douceurs régressives et réinventées.

Les crush de la rédaction : le Pavé Parisien et la Religieuse, qui ne manquent pas d’épater les papilles grâce à une symbiose de saveurs et de textures !

Voilà de quoi s’offrir la crème de la crème de la scène culinaire parisienne !

Pour encore plus d’adresses et de bons plans, go sur Paulette Map.

Ça y est, l’heure du déjeuner ou du dîner approche et le ventre crie famine… Problème : c’est le rush au boulot ou le néant dans le frigo. La solution ? Opter pour la livraison d’un repas déjà concocté ou de produits frais afin d’apporter son grain de sel. Cette option qui compte bon nombre d’adeptes offre une multitude de possibilités, dans l’optique de satisfaire les gourmands de la Ville Lumière. Entre les boxs et les paniers-repas, on passe en revue les bons plans livraison de la rentrée !

La box 100% bio : Rutabago

Du producteur au consommateur, avec Rutabago la boucle est bouclée. Cette initiative solidaire brandissant fièrement des boxs 100% bio se décline en trois volets : lutter contre les détracteurs environnementaux, privilégier les circuits-courts et instaurer un projet humain et gourmand.

Concrètement, ça donne quoi ? On commence par choisir parmi trois boxs à cuisiner : « Tradi » autrement dit frenchy, « Evasion » ou « Végé« . Une fois le dilemme cornélien passé, on peut dors et déjà découvrir les recettes que l’on concoctera au dîner. A l’ouverture, sont nichées les fiches recettes et les quantités exactes d’ingrédients, pour une semaine de plaisir aux fourneaux ! Parole d’honneur, en trente minutes chrono c’est prêt …

Le Frenchy bien emballé : Notre Apéro

Les copains débarquent et l’envie d’un apéro bien franchouillard se fait ressentir. Sauf que la virée supermarché qui coûte un bras quand on vit dans une grande ville, pour des produits « moyens », emballés et bourrés de conservateurs… Bof. Et si on n’a vraiment pas le temps de bouger, alors on peut opter pour les box du service Notre Apéro. Pour 62 euros, on choisit notre vin (en provenance de producteurs bien racontés sur le site) puis nos apéros pour se régaler avec trois amis dans une ambiance « à la maison » qui donne toutefois le sentiment d’être dans un bar à vin de qualité. Fromages soigneusement sélectionnés, charcuterie finement découpée, légumes crus et dip cuisiné… Difficile de résister et de ne pas renouveler un apéro coup de coeur comme celui-ci.

La raison pour laquelle on y revient ? Les produits minutieusement sélectionnés par les fondateurs de la plateforme ! La charcuterie Masàn, la fromagerie Goncourt, la maison Colibri, les chips Thaas… Difficile de ne pas recommencer, avec les mêmes, dès la semaine prochaine.

Le panier-repas 100% titi parisien : Bouillon Pigalle

Véritable institution dans la sphère des brasseries parisiennes, Bouillon Pigalle cultive sa renommée en régalant les papilles à coup de plats mijotés et régressifs. Face au COVID, et pour se remettre en selle, Bouillon Pigalle a opté pour le Click & Collect. Ce mode de service s’est finalement avéré être une option de choix, offrant au lieu une seconde jeunesse à l’heure où la livraison bat son plein.

A l’heure du déjeuner, on (ou plutôt notre estomac) chavire pour des rillettes de saumon. S’en suit la cultissime saucisse au couteau escortée de sa purée et d’un jus réduire. On termine sur une note sucrée, avec le gâteau au chocolat arrosé de crème anglaise.

La cerise sur le gâteau ? Un rapport qualité-prix de folie, notamment avec le menu du jour (entrée, plat et dessert) au prix de 10 euros !

La box 100% épicerie frenchy : Maison Plisson

Ce lieu à l’entité double de restaurant et épicerie fine détient une nouvelle corde à son arc… En effet, La Maison Plisson offre dorénavant à ses fidèles clients l’opportunité de se faire livrer la crème de la crème des produits. Que l’on soit en manque de temps ou que l’on ai envie de s’affaisser sur son canapé, on retrouve sur le e-shop un choix titanesque de gâteries à glisser dans le panier : viandes du boucher, charcuterie, antipasti, pâtes, fruits de mer ou encore douceurs sucrées, tous les rayons sont dans le salon !

Last but not least : la gamme « Yapluka » arrive en force, dégainant des assiettes préparées avec amour comme le tian de légumes ou les blinis aux herbes et crème au thon.

Le panier-repas 100% évasion : Les Cuistot Migrateurs

Aux prémices des Cuistots Migrateurs, Louis et Sébastien, deux hommes abreuvés d’idéaux, à l’envie grandissante de taper dans la fourmilière des idées reçues et notamment celles sur les réfugiés.

L’idée des deux compères ? La diversité, la connexion, la convivialité et l’enrichissement mutuel, au coeur d’un projet qui ne cesse de fleurir.

A l’heure du déjeuner, on se précipite sur son smartphone et l’on commande l’une des lunch boxs chargée d’histoire « Carné » ou Veggie« , pour la maudite somme de 15 euros. Des produits frais, locaux et un packaging responsable : que demander de plus ?

Le panier-repas 100% iodé : La Lorraine

C’est un fait : le week-end, les parisiens foncent vers la côte normande pour s’engouffrer des joyeuses gâteries qu’offre la mer. Mais comment faire en semaine, alors que le rush bât son plein ? On fait confiance à La Lorraine, une institution spécialiste des produits fraîchement pêchés, qui de surcroît compte la crème de la crème des maîtres dans l’art de sublimer les mets salins : le chef Cédric Moisan et le triple champion de France des écaillers, Rabah Guechoud.

La bonne nouvelle ? La brasserie dégaine une toute nouvelle offre avec la livraison et le service à emporter.

Voici la marche à suivre pour se faire livrer les produits de la marée. On commence par choisir son option de commande entre la livraison ou le Click & Collect. Dans un second temps, on concocte son plateau de fruits de mer en y insérant huîtres, crevettes, bulots et autres crustacés iodés … Enfin, on détermine son heure de retrait ou de livraison et l’on règle ! Ne reste plus qu’à patienter….

Que l’on mette les pieds sous la table ou que l’on passe derrière les fourneaux, ce qui est certain c’est que chacun trouvera son bonheur !

Dans l’antre de la foodosphère, la rentrée s’accompagne souvent de pépites ouvrant fraîchement leurs portes ou dégainant une offre inédite. Il faut ajouter à l’agenda des évènements so food à ne manquer sous aucun prétexte. Bref, pour s’y retrouver dans cet amas de jouissances culinaires, on a concocté un millésime des lieux à visiter au mois de septembre. Prêt·e à devenir le·la plus foodie de la bande ? C’est par ici que ça se passe…

Déambuler au Food Temple Africa

Save the date : du vendredi 25 au dimanche 27 septembre au Carreau du Temple ! Depuis maintenant quatre ans, dans une ambiance festive et conviviale, le Food Temple met sur le devant de la scène des savoir-faire et coutumes gastronomiques propres à chaque culture.

On l’aura compris, cette année se sont les pays africains qui se trouvent au centre du projet gourmand. Au programme des réjouissances donc : un marché de nuit (le vendredi 25 septembre), des masterclass et ateliers ludiques. Et pour se remplir le ventre, on fait place à l’épicerie ainsi qu’aux corners food savoureux de Mi Kwabo, Tindjan ou encore Villa Maasaï.

Les crush de la rédac’ pour profiter au maximum de l’évènement : s’initier à la cérémonie du thé (samedi 26 septembre), s’inviter au brunch dominical animé par Fatou Meite, et enfin participer à la masterclass « cheesecake sans cuisson saveur bissap » (dimanche 27 septembre).

S’offrir des good vibes au brunch Cali Sisters

Cette adresse est probablement familière aux aficionados de l’instant brunch. Effectivement, depuis son ouverture, Cali Sisters n’a cessé de faire planer sur Paname un doux parfum de rêve californien.

Comment ? En présentant un lieu démesuré, baigné de lumière et pimpé de bleu et d’une végétation luxuriante, qui vous donne l’impression d’avoir franchi l’Atlantique en deux temps, trois mouvements. Par ailleurs, ne soyez-pas surpris·e si on vous lâche un joyeux « Hello » ou « Enjoy » : ici, l’expérience Venice Beach est pensée dans les moindres détails, et on adore !

La nouveauté ? Le brunch du week-end à l’identité feel good, qui fera vivre aux papilles un tour du monde gustatif.

Côté salé, on se met en appétit avec la Season Tartine, composée d’une généreuse tranche de pain surmontée d’une ricotta aux agrumes, de petits pois et de dukkah pour relever l’ensemble.

On continue l’enivrante escapade en se délectant d’assiettes aux effluves méditerranéennes : la Burrata et tomates d’antan saupoudrée de poudre d’olive, et le Crispy Polpo accompagné d’une décadente garniture mêlant chou-fleur en taboulé, pommes de terre rattes et poudre de chorizo et d’olive.

Que les becs sucrés se rassurent, il y a de quoi faire niveau douceurs. On succombe de suite aux Crusty Waffles pas comme les autres, puisqu’aux flocons d’avoine. A la fois croustillantes et moelleuses, elles se marient divinement bien au sirop d’érable et à la fraicheur des fruits rouges. On opte également pour le Coco Grano, confectionné à partir de yaourt grec, de fruits rouges marinés, de miel et de granola homemade.

En somme : Un sourcing de qualité, des produits frais et des recettes vibrantes, gourmandes et twistées !

Humer la Méditerranée à plein nez avec les Niçois

Aux prémices des Niçois, deux têtes : Luc et Olivier. Les deux compères se sont donnés pour mot d’ordre de redorer l’image de la cuisine du Sud, dans un élan moderne et survolté. Leur botte secrète ? Opter pour des produits locaux et miser sur le végétal que la nature procure.

Ainsi, quand sonne l’heure du pastis, on y fonce et on se laisse séduire par des cocktails excellemment préparés comme le Lillet Tonic agrémenté de fruits frais de saison ou le Gin Tonic Yacht Club au sirop de lavande maison ! On accompagne les breuvages de quelques grignotes méditerranéennes avec les beignets de courgettes et la caponata aux aubergines et mozzarella fondante.

Cette adresse enivrant le Tout-Paris du chant des cigales fait aussi tinter les casseroles, en proposant des plats alléchants à l’image du poulpe des Niçois escorté d’une robe de pomme de terre et poivrons marinés ou, pour les pizza lovers, une version twistée de la spécialité italienne à la Burrata !

Le petit plus : les deux lieux muy caliente se sont refait une beauté, notamment avec des terrasses pour s’octroyer des bonnes ondes ensoleillées.

Stay tuned, Les Niçois réservent aux aficionados de l’apéro quelques belles surprises et notamment un tournoi de belote tous les mois, ou encore un gargantuesque repas de Thanksgiving « CaliforNiçois« . 

Tenter l’expérience fusion de Mosuke

Dans un espace pur et naturel dénommé MoSuke, Mory Sacko, ex-candidat Top Chef, convie depuis la rentrée les fins gourmets en quête de nouvelles expériences gustatives. A travers un voyage initiatique autour de l’Asie et de l’Afrique, le chef esquisse des plats singuliers et innovants.

Au menu donc, dans le prolongement de son premier passage chez EDO (Palais de Tokyo), Mory Sacko dégaine des assiettes emplies de couleurs, entre terre et mer et toujours dans un écrin végétal. Pour le reste, il faudra laisser place au mystère, avec une carte changeant d’intitulés comme de chemise !

Pour encore plus de bons plans et d’adresses, go sur Paulette Map.

https://www.instagram.com/p/CEw-SuMBwuW/

Une fois le boulot terminé, on a parfois envie de sortir, de se mêler à la foule et de boire un verre accompagné·e de quelques grignotes. Des bouteilles et spiritueux de qualité, des mets simples mais raffinés, le tout agrémenté d’une ambiance survoltée : difficile de combiner l’ensemble de ces facteurs, même en plein cœur de Paname. Pas de panique, à la rédaction, on a dégoté de petites perles qui vous feront vivre une expérience culinaire inoubliable et sans fioritures. Ready ? Tour d’horizon des meilleures caves et tables à manger.

MONBLEU – La fromagerie 2.0

Qui a dit que le fromage était ringard ? Chez MONBLEU, ce produit « parfumé » retrouve ses lettres de noblesse. En effet, l’enseigne à l’identité marquée se scinde en trois entités : une fromagerie, un restaurant et un comptoir. On passe la porte du comptoir et l’on sent de suite (en plus du brie de Meaux) la joie de vivre qui se dégage du lieu ! Tapisseries aux murs, canapés patinés et coussins dépareillés : l’esprit « titi parisien » nous enivre.

On s’installe sur l’une des chaises hautes du bar et l’on déguste de régressives coquillettes au jambon blanc surmontées de reblochon gratiné ou encore un arancini à la fourme de Montbrison et sa crème de poivron. L’option bis : se concocter un plateau de fromages, en choisissant parmi une imposante sélection sourcée. Pour la note sucrée finale, on fonce sur des figues rôties, jointes à un fromage blanc fermier.

Alerte aux aficionados de plateaux de fromages : De 15 à 19 heures, pour l’achat de trois fromages, un petit quatrième surprise est offert !

Frenchie Pigalle – La table à manger la plus sexy de Paris

C’est un fait : le quartier éclectique et bouillonnant de Pigalle rime avec convivialité et rencontre. Et ça, Greg Marchand, le fondateur, l’a bien compris. Dans son antre aux tonalités urbaines et boisées, pimpé de fleurs séchées, il fait tinter les casseroles et propose des assiettes de « snacking » haut de gamme, fun et travaillées !

On raffole notamment de son best-seller : les tagliolini à l’encre de seiche, moules, chorizo et bouillabaisse. En bouche, se produit une explosion de saveurs, faisant atterrir les papilles en plein bassin méditerranéen. On chavire également pour les audacieuses nuggets au ris de veau. Côté douceurs, on est séduit·e par une tarte aux fraises confiturées, agrémentée de thym citronné.

Buvette Paris – L’adresse au sourcing 100 % terroir

Légumes, fromages, café ou encore olives : savez-vous ce qu’ont en commun ces produits ? Leur sourcing made in France, mettant à l’honneur des producteurs passionnés distillant un savoir-faire incroyable. Ce crédo affiché par Buvette Paris est suivi sept jours sur sept, au déjeuner comme au dîner dans un lieu intimiste et chaleureux.

Au programme des réjouissances culinaires : une tartine ratatouille et chèvre frais et des rillettes de saumon aux deux saumons. On termine en se délectant des douces gaufres au Nutella de notre enfance.

La Rôtisserie Gallopin – La tradition en mode street food

Dès l’entrée, les deux imposantes rôtissoires Gallopin plantent le décor dans une salle aux coloris bleutés, rehaussée de carreaux de faïence et de pierre de Bourgogne. Les apparences sont parfois trompeuses, et preuve en est, on est bien loin de la traditionnelle brasserie à la française. Ici, l’artisanat culinaire est respecté et sublimé dans un élan contemporain.

Concrètement, on mange quoi ? En guise de préambule, on découvre un chou-fleur rôti à la broche marié à du yaourt et de la coriandre. On continue l’escapade gustative avec un sandwich pita au poulet fermier ainsi qu’un pâté en croute en version finger food. On termine, chocolovers que nous sommes, avec une mousse au chocolat façon Snickers !

De quoi s’éveiller les papilles, même en plein milieu de la semaine !

Pour encore plus de bons plans et adresses insolites, go sur Paulette Map.

Cojean sort une nouvelle gamme de salades baptisée Yogi qui ravira tous les palets gourmands en quête de nourriture feel-good. 

La nourriture feel-good, futur des restaurants ? En tout cas, c’est le pari qu’a fait Cojean avec sa nouvelle gamme Yogi. Et ils ont bien fait ! Selon eux, « adopter l’alimentation Yogi invite à écouter son corps, son énergie, son esprit, et à déguster les bons ingrédients au bon moment ». Et on ne peut qu’acquiescer.

Trois nouvelles salades 

Au menu, trois nouvelles salades Yogi. La Relax, la Flow et la Boost. « [Elles plairont] tout aussi bien aux amateurs de yoga qu’aux néophytes qui découvriront des recettes de saison, à la fois équilibrées, gourmandes, et à l’impact positif sur le corps grâce à des aliments Sattviques – théorie selon laquelle les aliments peuvent influencer le mental. »

La base de leur salade : une sauce légère au chanvre, psyllium blond et à l’amande. Toutes végétaliennes, elles se déclinent avec des céréales bio, des légumes, oléagineux et des épices différentes. La Yogi Relax se compose par exemple d’un « trio de quinoa bio, potiron rôti à la mélasse de grenade, sumac, noix de pécan et grenade fraîche ». La Yogi Flow d’« orge bio, roquette, brocoli, zestes de citron, pulpe de gingembre, raisins secs, menthe et amandes grillées », et la Yogi Boost de « millet & lentilles corail bio, carotte, ciboulette, noisette, citronnelle, curcuma et curry sauvage. » Toutes accompagnées du Yogi Time, jus mixé de fruits et légumes bio. 

De quoi « se retrouver dans un état de sérénité et de relaxation optimale pour affronter les obstacles du quotidien ». 

Pour retrouver la gamme Yogi et plus encore, voici leur site internet.

Article de Clémence Bouquerod 

Depuis la tornade qui a ébranlé de plein fouet un certain nombre de commerces sur la scène culinaire française, de nombreux projets ont vu le jour dans l’optique de peu à peu « remonter la pente ». Lola Zerbib et Natacha Sporer, toutes deux designers et fondatrices du studio Ravages, apportent jour après jour leur pierre à l’édifice. On fait le point sur un nouveau concept détonnant et dépaysant.

Salive : késako ?

La dénomination nous met déjà la puce à l’oreille. Derrière le concept « Salive » se cache une escapade gustative, un parcours initiatique dans les rues de Paname, à la recherche de son déjeuner ou de son dîner. D’une part cette « déambulation culinaire » riche de plus de quinze restaurateurs emmène les amateurs des fourneaux découvrir cinq points clés de dégustation, et d’autre part on aperçoit une facette d’un Paris distinct du quotidien.

The Cherry on the Cake ? On choisit parmi trois thématiques. Alors plutôt partant.e pour un tour du monde de la Porte Saint-Denis à la gare de l’Est, un déjeuner en mode canotiers au Canal Saint-Martin ou une promenade bucolique au Village Charonne ?

Comment ça marche ?

Dans un premier temps, on se rend sur la billetterie en ligne et l’on se procure un ticket, mentionnant un lieu de rencontre pour le jour de la déambulation. Puis, le D-Day un kit empli de couverts et d’accessoires (dont une carte pour se repérer) est délivré. Ne reste plus qu’à entamer l’Odyssée gourmande. On se retrouve dans une véritable chasse aux trésors et l’on récupère gaiement ce que le « Petit Poucet gourmet » a semé sur son chemin. Echange, lien social et découvertes insolites autant pour les yeux que les papilles : que demander de mieux ?

Avis aux fins gastronomes : si l’expérience vous tente, c’est par ici que ça se passe.

On ne cessera jamais de le dire, Instagram demeure le réseau social par excellence pour découvrir les tendances food venant enflammer la toile. Parfois plus qu’atypiques, à l’image du #MermaidToast ou de la #BlackIceCream, les créations culinaires ont le mérite de faire réagir les internautes qui en redemandent. La nouvelle lubie en date ? Le cloud bread. Pas encore à la page ? On fait le topo.

Le cloud bread : Késako ?

Derrière cette dénomination anglo-saxonne se cache le « pain nuage« , autrement dit un pain moelleux mis en lumière sur TikTok par le compte @abimhn. Avec plus de 35000 posts sous le hashtags #cloudbread, cette préparation a la spécificité de dévoiler un coeur fondant et aérien à la découpe et de se décliner à l’infini au gré des envies. De fait, rose bonbon, arc-en-ciel, sucré ou salé : tout devient cloud bread !

La recette

A vos fourneaux pour réaliser cette préparation avec trois fois rien, un peu d’huile de coude et beaucoup d’imagination :

Ingrédients :

  • 3 oeufs
  • 2 cuillères et demi de fécule de maïs
  • 2 cuillères à café de sucre blanc

Préparation :

On commence par séparer les blancs des jaunes d’oeufs. Puis, dans un second temps, on fouette les blancs jusqu’à l’obtention d’une texture mousseuse.

On ajoute à cela la fécule de maïs ainsi que le sucre, et l’on continue de mélanger vigoureusement jusqu’à ce que la préparation soit plus ferme.

On place une feuille de papier sulfurisé sur une plaque et l’on dépose le mélange en façonnant une boule de pain. On enfourne à 150 °C et l’on patiente 25 minutes !

En option : glisser du colorant, qui donnera un esprit girly au nuage !

Et pour retrouver les dernières tendances Instafood, on clique par ici.

Après le boulot avec les collègues, entre copines ou même avec sa moitié, on apprécie partager de joyeuses assiettes à l’heure du repas. Originaires de la contrée du flamenco, les tapas ont le vent en poupe du côté de la capitale. De fait, les bouchées demeurent colorées, simples à manger et sans fioritures. Balayage des adresses parisiennes maîtresses dans l’art de l’amuse-bouche caliente.

Pepita : en avant la Méditerranée !

On entre chez Pepita et on se fond de suite dans une ambiance chaleureuse, solaire et comfy. La décoration, travaillée avec goût, laisse entrevoir des cruches en osier multicolores, des banquettes (ultra)bombées à la teinte dorée ainsi que des pierres apparentes, pour un lieu authentique.

Côté carte, il n’y a pas photo : c’est tout le bassin méditerranéen qui se dresse à nos pieds, pour notre plus grand plaisir. A la rédaction, on se met d’abord dans le mood avec un gaspacho accompagné de tapenade et de croutons aromatisés au romarin. Puis, en guise de plat, on chavire pour la salade « Méditerranéenne » à base de roquette, de burrata, de jambon de parme AOP et de tomates confites rouges et jaunes, le tout arrosé d’un pesto verde. On opte aussi pour la spécialité de la maison : la pizza « Pepita » comprenant de la roquette, du jambon à la truffe, de la stracciatella et de la pistache.

Alerte aux chocovores : on ne manque pas la brioche perdue à la crème de pistache et nocciola Bio, saupoudrée d’éclats de noisettes caramélisées.

Acà Pigalle : en avant Mexico !

On l’aura compris rien qu’à la dénomination, Acà Pigalle met sur le devant de la scène le patrimoine culinaire du Mexique, et donc le tacos. Celui-ci est cuisiné à toutes les sauces grâce à une base de galette à la farine de blé ou de maïs (sans gluten). A cela s’ajoute des garnitures au sourcing de qualité, des plus classiques aux plus excentriques.

On s’enivre de plaisir pour le tacos nopalqueso composé d’une galette de farine de blé avec, en son sein, du cactus et du fromage fondu. On est également tenté par deux préparations ayant pour support une galette sans gluten : le al pastor, autrement dit un mix sucré & salé avec de l’ananas et du porc mariné à l’orange et aux épices, et le tacos de pulpo au poulpe, piment vert et fromage super fondant.

IBRIK : en avant les Balkans !

Connaissez-vous les Balkans, cette région enclavée entre la Mer Adriatique et la Mer Egée ? On se laisse aller à l’ivresse culinaire de l’Europe du Sud grâce à un lieu parisien : Ibrik.

Dans cet antre propice au dépaysement, l’heure est à la générosité grâce à des assiettes richement garnies et emplies de saveurs et de couleurs pepsy. Plusieurs recettes décadentes et alléchantes nous tapent dans l’oeil : les poivrons rouges marinés, accompagnés d’un halloumi frit au miel et réhaussés d’une vinaigrette acidulée, le hummus de la maison aux légumes de saison rôtis, et enfin la PIDE, c’est à dire la version 2.0 de la pizza au fromage de brebis surmontée de légumes confits.

Que les becs sucrés se rassurent, il y a de quoi faire avec un moelleux aux pistaches d’Iran et rose et un cheesecake très léger aux framboises et cerises.

Boteco : en avant Rio de Janeiro !

Lumière tamisée, végétation luxuriante et shaker à donf sous un rythme endiablé : plus d’hésitation, on se trouve bien chez Boteco.

On commence en premier lieu par choisir son cocktail parmi une liste colossale de breuvages à glouglouter. A la rédaction, on a eu un gros crush pour la caipis Palominha, le cocktail faisant bouger le tout Sao Paulo, ici à base de jus de pamplemousse, de purée de coco, de sirop de sucre et de grenade.

On se laisse par la suite séduire par quelques douceurs salées : des gnocchi de banane plantin à la sauge et à la sauce au parmesan, ainsi qu’une casquinha de siri, soit de la chair de crabe à la noix coco, gratinée au parmesan.

Azulito : en avant l’Amérique du Sud !

Cette année, la terrasse du Monsieur Bleu laisse place à une ambiance ultra divertissante, puisque tout droit venue d’Amérique du Sud avec Azulito. Dans une sorte de bulle végétale où se fondent en harmonie oliviers et cactus, les clients prennent place, dégustant tacos et quesadillas.

On adore le tacos fish healthy, à base de daurade royale, de mangue, de concombre et d’avocat, ayant en guise d’assaisonnement du citron et du piment d’espelette. On se laisse également convaincre par un tacos veggie comprenant notamment de la feta, de la tomate, de l’avocat, du fenouil et du concombre.

Au niveau des boissons, on se rue sur un cocktail signature : le accapulco, dégageant des notes de fruits rouges comme la cerise, la framboise, la fraise et la myrtille.

Plus une minute à perdre : ce soir, on se hâte dans l’une de ces adresses solaires pour passer une soirée de folie !

Pour plus de bons plans culinaires, go sur la Paulette_map.

https://www.instagram.com/p/CD8lpP7Bgzg/

La babka, c’est quoi ? Originaire des contrées de l’Est, cette briochette tressée ne cesse de rafler de nouveaux adeptes dans la capitale. La boulangerie levantine Babka Zana en a d’ailleurs fait sa marque de fabrique, en mettant en avant le produit sous différentes formes et avec des garnitures toutes aussi alléchantes les unes que les autres. Voilà que depuis quelques semaines, une nouvelle tendance rafraîchissante et estivale a vu le jour… On fait le point.

La Maison Babka Zana

Chez Babka Zana, on travaille la pâtisserie de l’Est à toutes les sauces. En effet, trois créations sucrées sont dégainées : la babka roll en roulé, la babka cake et la babka pie sous forme de tarte. A la rédaction, on a un gros crush pour la babka roll individuelle chocolat-noisette à la pâte à tartiner de La mère de famille et aux noisettes du Piémont. On partagera gaiement avec sa tribu une babka pie pistache-fleur d’oranger.

Des sandwichs et feuilletés salés sont même de la partie, pour un repas 100 % babka.

La nouvelle idée à vous givrer la tête

Le concept ? Reprendre l’idée de l’ice-cream sandwich, avec pour base principale la babka roll émoustillant le plus nos papilles : chocolat-noisette, pistache-fleur d’oranger, halva-citron, cannelle-muscovado ou ricotta-cranberry. A cela, il faut ajouter un insert (ultra)onctueux, qui n’est autre qu’une crème glacée artisanale à la halva et aux éclats de pistache de la maison Le Bac à Glaces.  

Last but not least : la nouvelle douceur boulangère prénommée « Freddy » est coupée et dressée minute devant les yeux ébahis des estomacs sur pattes que nous sommes !

On arrête les glaces à l’italienne, les cornets et autres petits pots trop old-fashioned et on se met en route direction Babka Zana !

Cela fait quelques mois que le confinement a frappé la France et dorénavant moult concepts fleurissent, apportant une part importante ou totale des bénéfices récoltés aux associations. Aujourd’hui, Paulette zoome sur une Odyssée alléchante prénommée « À la maison ». Curieux(se) ? On en dit plus aux foodistas par ici.

Un projet gourmand et solidaire

Le temps d’un huit-clos, les chefs cuisiniers du monde entier se sont retrouvés loin de leur cuisine sophistiquée. L’occasion donc de revenir à l’essentiel, accompagné de son entourage et de mets sans fioritures et authentiques. Bref, comme  » à la maison « .

Aux manettes de cette initiative gourmande : Victoire Loup, ancienne rédactrice food devenue blogueuse à temps plein. Son idée ? Faire partager aux lecteurs une bribe du quotidien de ceux qui font vibrer, vriller leur palais, à travers des assiettes simples et savoureuses. Pas moins de 60 pépites du parterre gastronomique se sont réunies, faisant de cet ouvrage un véritable brassage d’univers gustatifs hétéroclites ayant pour maître-mot central l’authenticité.

Les gains sont doublés : d’une part, les apprentis en herbe prendront place dans une aventure où Anne-Sophie Pic, Christophe Michalak, Juan Arbelaez ou encore Yann Couvreur sont mis à nu grâce à des secrets bien gardés et des anecdotes bien léchées. D’autres part, l’ensemble des bénéfices récoltés reviendront à l’association Ernest, venant en aide aux familles en difficulté par des paniers repas.

The cherry on the cake : dans l’un des livres déjà disponible à la prévente se niche un « ticket d’or », autrement dit un repas pour deux chanceux chez l’un des chefs contributeurs, le voyant ainsi mitonner de bons petits plats dans son foyer.

Un avant goût : la recette des Scallion pancakes de Taku Sekin

Ingrédients :

  • 200 g de farine
  • 2 cébettes
  • 150 ml d’eau bouillante
  • Huile de sésame
  • 1 pincée de sel

Pour la sauce :

  • 2 cuil. à soupe de sauce soja
  • 2 cuil. à soupe de vinaigre

Préparation :

Mélangez la farine, le sel et l’eau bouillante dans un bol. Pétrissez pendant 10 minutes, puis recouvrez le bol d’un film plastique. Laissez la pâte reposer pendant 20 minutes.

Pétrissez à nouveau pendant 5 minutes. Divisez la pâte de manière à faire deux gros pancakes. À l’aide d’un rouleau à pâtisserie, étalez vos pâtes en forme de cercles. Avec un pinceau, badigeonnez-les d’huile de sésame. Saupoudrez la pâte de sel et de cébettes finement ciselées.

Enroulez la pâte pour former un rouleau, et repliez-le sur lui-même comme un escargot. Répétez l’opération pour le second pancake. Laissez les deux escargots reposer pendant 20 minutes. Aplatissez-les avec un rouleau à pâtisserie.

Faites cuire vos pancakes dans deux poêles à feu doux avec de l’huile de sésame. Laissez cuire chaque pancake entre 8 et 10 minutes en les retournant fréquemment jusqu’à obtenir des pancakes dorés et croustillants de chaque côté.

Dégustez vos pancakes avec un mélange soja-vinaigre. Trempez vos pancakes dans la sauce !

On n’attend plus et l’on apporte sa pierre à l’édifice en cliquant par .