L’industrie de la mode pollue, c’est indéniable. Mais saviez-vous que tous les ans, elle perd environ 60 milliards de m2 de textile lors de la découpe des vêtements ? C’est pratiquement 15 % du tissu de chaque pièce qui n’est pas utilisé. Pour y répondre, Kiabi développe le Zéro Waste Design et sort son premier coupe-vent 100 % éco-conçu.

© Kiabi
© Kiabi

Aimées, jugées, montrées du doigt mais désirées, les marques se réinventent et disent stop au gaspillage. Chez Kiabi, le nouveau défi qu’on souhaite relever est simple sur le papier mais pas si évident en pratique. Et pour cause, l’enseigne à petit prix s’engage désormais à ce que le patron de ses vêtements utilise 100 % de la surface du tissu : zéro chute donc zéro déchet.

Allier l’économie à l’écologie

Si les pertes textiles sont énormes, les pertes économiques sont elles aussi considérables. Créer un design zéro déchet revient donc à revaloriser la créativité, la durabilité, mais également à optimiser le prix d’achat. Et celui-ci sort cette semaine en exclusivité sur l’e-shop de Kiabi. Une nouveauté éco-conçue faite de matières premières recyclées. Préparez-vous à faire de la place dans votre dressing, ou du moins, sur un cintre, car ce vendredi 9 avril, le coupe-vent Zéro waste Design pourrait bien être à vous.

Petit à petit, Kiabi fait son nid

Ce projet n’est toutefois pas le premier effort de la marque pour réduire son impact sur l’environnement. Kiabi exerce, depuis plusieurs années maintenant, un travail sur ses matières. Recyclage de bouteilles en plastique, de chutes de production, utilisation de coton bio. L’année dernière, elle comptait parmi l’ensemble de ses produits 20 % d’éco-conçus (remplissant au moins un critère d’éco-conception).

Ainsi, le label reste en veille constante d’innovations et d’alternatives durables. Le prochain objectif serait d’ailleurs d’agir sur la teinture et le lavage des tissus et des produits fabriqués par ses soins.

Un joli challenge pour une mode plus verte qu’il nous tarde de découvrir !

Disponible ce vendredi 9 avril au prix de 35  €, juste ici.

Un article de Margot Hinry

Une marque, deux regards. Une saison, une "valise" : c'est le concept de la nouvelle marque Tressé Paris qui propose une collection tous les trois mois. Vous allez adorer.

Lancement de la marque responsable Tressé Paris
Tressé Paris - Valise de printemps

Pas de collection permanente, pas de réassort infini, pas d’inspiration fixe. Tressé, c’est l’histoire d’un croisement d’idées entre un frère et une sœur : Sivan et Ketzia. Animés par les voyages, l’enfance, les souvenirs et les lieux qui ont compté pour eux, ils créent ensemble leur marque de prêt-à-porter et lifestyle (déco, bijoux) éco-responsable.

Les tissus sont en lin, coton, cachemire, les jeans sont bio.

En effet, c’est par conscience écolo et en soutien au défi climatique à relever que les créateurs ne proposeront que des éditions limitées. Pas de collection d’été dès janvier mais un calendrier plus proche du réel avec une ligne de 15 à 20 pièces maximum. De quoi remplir sa valise, et c’est tout.

“La valise d’été sera présentée en mars, pas avant.”

Le voyage comme source d’inspiration

La marque souhaite proposer des pièces engageantes, avec l’idée de “produire moins, mais mieux”. Les mots qui résonnent à travers les créations de Tressé sont le voyage, la culture et l’artisanat. Chaque collection est inspirée d’un lieu ou d’un voyage. En découle évocations, couleurs, inspirations culturelles. 

D’abord, le processus créatif reste familial puisque leur mère Évelyne est impliquée auprès de la marque. Puis vient le savoir-faire des artisans mis à profit pour créer des pièces conviviales, chaleureuses et colorées. 

Pour les premières valises, les poteries proposées par la marque ont été réalisées en collaboration avec l’Atelier Buffile. C’est un fabricant de céramique à Aix-en-Provence. Un appel au voyage, à la rencontre et au soleil, que Sivan et Ketzia se disent tenir de leur mère, Evelyne. 

“Chez Tressé, la culture donne le ton, oriente le regard”

La première collection de la marque est inspirée de la Provence et de l’univers visuel d’Henri Matisse. 

Notre sélection Tressé Paris

La valise de printemps est en ligne depuis le 11 mars et il n’y en aura pas pour tout le monde… Pour vous, une sélection de nos coups de cœur :

À retrouver sur l’e-shop de Tressé Paris.

Article de Margot Hinry.

2020. Finalement, il y a bien un point positif que nous pouvons relever de cette année : avoir pu profité du temps passé majoritairement chez soi, pour prendre davantage soin de soi. Savourer son corps, apprendre à le comprendre, à mieux le connaître, et surtout : apprendre à l’aimer. Voilà ce que nous désirons en 2021, un esprit sain dans un corps sain. Effectivement, cet objectif semble plus facile à dire qu’à faire. Mais heureusement, la « clean beauty », cette nouvelle trend responsable, devrait nous aider à y parvenir.

La « clean beauty », qu’est-ce que c’est ? 

En français, « clean beauty » signifie littéralement « beauté propre ». Pour la plupart, cette expression attise la confusion notamment à cause de la notion vaste de propreté. A cet égard, une question taraude les esprits : « Que sous-entend réellement  le mot propre ? » Eh bien, derrière ce terme se cache simplement un engagement écoresponsable de l’industrie cosmétique qui vise à proposer des produits plus respectueux de notre peau mais surtout de l’environnement. D’après le site Bon plans écolo, « Dans le monde, 3500 euros de produits sont vendus chaque seconde. En France, il se vend en moyenne pour chaque minute : 360 gels douches, 650 shampoings et après-shampoings 120 produits de maquillage, 30 tubes de crème solaire… »  En voyant ces chiffres faramineux, on peut le dire : il était temps ! 

Un retour à l’essentiel

L’essor de cette nouvelle tendance beauté, depuis maintenant deux ans, peut manifestement se traduire par un retour à l’essentiel et ce, dans tous les aspects du quotidien. De ce fait, les pratiques de consommation n’ont pas été épargnées, bien au contraire. Désormais, les consommateurs sont de plus en plus conscients. La qualité prend le dessus sur la quantité !  

Cela dit, dans la « clean beauty » la santé mentale et les cosmétiques utilisés semblent indissociables. Effectivement, Hayley Wood, la fondatrice de Therapeutic Skin Coaching estime, dans un entretien pour mindbodygreen que « revenir à l’essentiel signifie faire confiance à sa peau » mais également que « traiter la peau n’est pas différent que d’écouter nos besoins« . C’est d’ailleurs ce que soutient la dermatologue Raechele Cochran Gathers dans ce même entretien : « J’ai vraiment commencé à comprendre l’idée que la santé est la beauté. Une belle peau et de beaux cheveux viennent de l’intérieur.« 

On retiendra donc que ne pas ignorer les signaux envoyés par notre corps et prendre le temps de s’écouter sont des étapes fondamentales pour toutes les routines beauté ! 

Un article signé Exaucée Nzoigba

Cette année, Caudalie semble entretenir sa passion pour l’innovation. Après avoir récemment lancé sa nouvelle gamme de soin clean, Vinoclean, la marque responsable continue dans sa lignée en compagnie de My Little Box ! Découvrez en exclusivité la manière dont ces deux labels ont réuni leurs valeurs éthiques dans le but d’atteindre deux objectifs fondamentaux : respecter l’environnement et prendre soin quotidiennement de notre peau.

Nous sublimer mais pas que… 

Chaque mois, My Little Box s’assure de répondre aux besoins et aux envies de ses abonné·e·s en leur livrant des super gifts allant des produits de beauté aux accessoires. Dès mars, afin de se préparer comme il se doit à la période printanière, la marque plonge cette fois-ci dans l’univers green de Caudalie. Eh oui, en 2021, toutes deux ont décidé de nous chouchouter davantage. Comment ? En prenant soin de nous, comme à leur habitude, et tout particulièrement de notre peau. Cela dit, pour ces deux marques, il était indispensable de faire rimer « peau nette » avec « planète ». Ici, le bien-être ce n’est pas du paraître. C’est la raison pour laquelle ce projet se veut avant tout respectueux de l’environnement.  

Une box, plein de surprises…

Vous trouverez, dans cette box soigneusement présentée dans un panier en jute et coton naturel, des éléments à la fois pratiques et écologiques.  En effet, ce coffret contient : un set de bagues en laiton, un joli pochon en coton recyclé, une serviette toute douce en velours recyclé (RPET), ainsi que trois produits beauté Caudalie pour vous sublimer. Soin corps nourrissant, mousse nettoyante aux senteurs florales de la gamme Vinoclean, crème sorbet hydratante, le combo parfait pour être fraîche à l’arrivée des beaux jours. 

Toute la panoplie y est pour faire éclore votre beauté intérieure ! 

Rendez-vous dès le 1er mars sur www.mylittlebox.fr au prix de 25 € l’unité ou à partir de 17,90 € sur abonnement.

Un article signé Exaucée N’zoigba

Depuis sa création en 1984, Thomas Sabo n’a cessé de s’imposer dans l’univers de la joaillerie. Aujourd’hui, la marque se démarque en collaborant pour la toute première fois avec une association : Wires (Wildlife Information Rescue and Education Service). Découvrez cette nouvelle collection exclusive dans laquelle « projet engagé » rime avec protéger, briller, sauver et scintiller ! 

Focus sur l’organisme Wires

« Après des incendies catastrophiques, une grave sécheresse, et des conditions météorologiques qui ont fait des ravages tragiques sur la faune, nous restons concentrés sur le sauvetage, la réhabilitation et le rétablissement« , stipule l’association à but non lucratif, Wires, créée en 1985 pour préserver toute la faune en Australie. En effet, d’après un nouveau rapport de la WWF, 2,46 milliards de reptiles, 180 millions d’oiseaux, 143 millions de mammifères, 51 millions de grenouilles, environ 3 milliards d’animaux au total, ont été tués ou déplacés par la crise des feux de brousse. Des chiffres alarmants qui encouragent, chaque jour, l’association australienne à agir pour limiter ces bouleversements mais surtout « inspirer les autres à faire de même« .

Wires inspired Thomas Sabo

Visiblement, l’organisme ne touche pas uniquement les bénévoles ou les autres associations. Elle sensibilise aussi les marques internationales et cette nouvelle collab’ en est la preuve. La mission de Thomas Sabo ? Participer en beauté au sauvetage des paresseux australiens en récoltant des fonds grâce à la vente de bijoux, leur spécialité. Alors, pour réaliser ce pari engagé, quoi de mieux que des colliers avec un petit koala en pendentif pour symboliser l’Australie ?

Un cadeau brillant et responsable

A la fois rock et chic, ce petit bijou finement élaboré de façon artisanale est composé de près de 400 pierres qui font scintiller l’adorable koala agrippé à sa branche d’eucalyptus.

D’ailleurs, 10 % des recettes obtenues grâce à la vente des ces 250 exemplaires, seront versés à Wires. « Notre objectif : offrir à chacun, homme ou femme, l’accessoire optimal pour chaque tenue et pour chaque occasion« , déclare la Maison Sabo. Sauf que, cette fois-ci, ce n’est pas juste une idée cadeau so cute pour un·e proche. C’est aussi et surtout un présent pour la faune, l’environnement, notre avenir et notre bien-être ici bas.

Quoi qu’il en soit, pour faire partie des premier·e·s à shopper cette petite merveille, rendez-vous le 7 décembre sur le site Thomas Sabo.

Un article signé Exaucée Nzoigba

Couleurs pop, pep’s, vitalité et positivité sont les mots clés de la nouvelle capsule FW20 Desigual. Ludique et poétique, elle a été imaginée par l’artiste espagnole Miranda Makaroff. Cette troisième collaboration aux côtés de l’illustratrice et actrice à la créativité débordante, est plus qu’une collection, c’est une fiction : Planète Evasion. En d’autres termes, un film particulier dans lequel nous ne sommes pas spectatrices mais bel et bien actrices. Oui car la gamme célèbre la femme à travers une palette de pièces artistiques multicolores. Mais attention, il ne s’agit pas uniquement d’admirer ou de porter ces créations. Il s’agit plutôt de nous encourager à être une véritable œuvre d’art au quotidien !

Planète Evasion

Pour résumer, Planète Evasion c’est finalement l’histoire de trois copines :  Mirandella, joyeuse et drôle (Miranda Makaroff), l’audacieuse Rossy Odyssy  (Rossy de Palma) et Space Kittyna, naïve au premier abord… (Valentina Smapaio). Réalisé par Gorka Postigo, ce petit film de Noel atypique met en scène l’univers décalé et décomplexé de Desigual et Miranda.

Liberté, Gaieté, Féminité

Telle est la devise de cette nouvelle collaboration.

Ça y est, on entre dans la période des trois F : Froid, Fatigue et Flemme. Comment ne pas tomber dans un bad mood quand la nuit tombe à 17 heures ? Difficile oui, impossible non. Le jeu de symétrie, les personnages anthropomorphiques, les coupes lose ou structurées, les couleurs vives et flashy de cette capsule originale, sont justement là pour révéler notre personnalité unique et ensoleiller les rues, et ainsi faire rayonner toutes les personnes qui nous entourent. En plus, les imprimés dévoilent des silhouettes féminines en totale connexion avec la nature. Les thèmes de la liberté, de la féminité, de la sensualité et de l’environnement durable sont évoqués en beauté à travers cette collection onirique.

Miranda nous emmène au pays des merveilles

« Mon objectif consiste à transmettre l’énergie positive et la distraction, car je crois qu’elles ont été reléguées au second plan dans le monde de la mode. Nous sommes devenus, quelque peu des esclaves maladifs des tendances et je crois qu’il est important de vivre d’un point de vue de la liberté, de la créativité et du jeu« , déclare Miranda. La capsule est finalement le reflet de ses multiples facettes et de sa pluridisciplinarité dans le monde de l’art (peintre, illustratrice, créatrice, DJ, actrice). Mais l’objectif de cette collab’ reste avant tout de transmettre beaucoup d’amour avec beaucoup d’humour. Des valeurs qui ont d’ailleurs séduit plus d’une fois la marque espagnole initiatrice de l’upcycling.

Finalement, cette capsule basée sur l’art de la joie invite les consommateur·rices à adopter d’une part un comportement plus responsable, d’autre part à libérer la meilleure version d’eux et elles-mêmes grâce à un arc-en-ciel d’optimisme. Alors, prêt·es à refaire le plein d’énergie cet hiver, en portant des tricots tout chaud pigmentés de positivité ?

Un article signé Exaucée Nzoigba

Le Black Friday, l’évènement commercial tant attendu, chaque fin d’année, est de plus en plus critiqué. Pour cause, son incitation à la surconsommation qui, on le sait, n’est pas sans conséquence sur l’environnement. Afin de contrer les effets négatifs sur l’écologie de ce “Vendredi Noir” Aigle a décidé de passer au vert en créant son Green Friday. Ce nom a été soigneusement choisi pour nous annoncer la couleur des nouvelles actions responsables de la marque. Opter pour de la couleur n’est-ce pas une solution simple pour enjoliver cette période un peu terne ?

Green week

“Ce n’est pas un Black Friday. C’est une semaine au vert” est-il mentionné sur l’une des photos de cette nouvelle campagne écolo. En effet, le Green Day initié s’élargira finalement sur toute une semaine. Une durée jugée nécessaire pour sensibiliser les consommateurs au sujet de l’éco-responsabilité. Au programme, conseils, astuces et gestes simples à adopter au quotidien seront mis en place pour nous enseigner, en douceur, sur les bienfaits du Positive Impact. Sandrine Conseiller, CEO de la marque nous explique la nature de ce mouvement en quelques mots : “Aigle Positive Impact est un engagement fort, au cœur du développement de notre marque. Il était donc évident que ce 27 novembre, Aigle ne participerait pas au Black Friday. Nous avons la conviction que nous ne changerons pas les comportements en pointant du doigt ou en interdisant, mais en éveillant les consciences, en montrant que les alternatives crédibles existent : plus responsables, plus respectueuses de l’environnement”. A l’occasion de cet engagement, Aigle a d’ailleurs pris une décision radicale : celle de fermer son e-shop pour laisser place à son site de seconde-main alias Second-Souffle.

Second Souffle

A travers ce site, dont le nom aspire à une nouvelle aire, la marque made in France, nous donne aussi la possibilité d’agir. Effectivement, on peut recycler nos vêtements et chaussures datant d’il y a moins de cinq ans, en échange d’un bon d’achat pouvant s’élever jusqu’à -70% ! Cette réduction est valable sur les deux sites. Une fois les articles lavés et reconditionnés, ils sont ensuite mis en vente sur la plateforme. En prime, la communauté Aigle peut finalement bénéficier de nouveaux articles à des prix attractifs allant de -30% à -40% du prix de départ. Qui dit mieux ? On donne et en plus, on reçoit en retour !

Désormais, il n’y a plus qu’à espérer que, suite à cette semaine verte, nos mauvaises habitudes de consommation seront mises au placard !

Un article signé Exaucée Nzoigba.

A l’approche de Noël, Maje nous dévoile une nouvelle collection Automne-Hiver dédiée aux fêtes de fin d’année. Oui, et cette capsule a par ailleurs été imaginée avec responsabilité. Au menu, robes élégantes assaisonnées de paillettes et cocktail d’anciennes pièces revisitées et donc engagées !

Brillez de 1000 feux

Pour cette nouvelle collection, Maje remplace stress par strass. Non, ce n’est pas l’angoisse de cette pandémie qui va l’empêcher de rayonner pour les fêtes de fin d’année. Et comme les valeurs de la marque sont l’amour et le partage, laissons-nous shine bright like a diamond grâce à ces robes lumineuses. De quoi faire pas mal d’envieuses… La bonne nouvelle ? Du 1er au 25 décembre, Maje a choisi de nous gâter en lançant un jeu en édition limité. Chaque jour, le calendrier de l’avent de la griffe nous donnera l’opportunité de gagnés des cadeaux de l’enseigne française. Restons connecté.es, c’est sur les réseaux sociaux que l’opération sera lancée.

“25 days of love”

Maje vous transmet également son plaisir d’offrir à travers sa collection Remade with love, une capsule aux saveurs engagées. Effectivement, ce sont les tissus des saisons précédentes qui ont servi pour réaliser ces merveilles. Certaines des pièces ont d’ailleurs servi à habiller les actrices de la série Emily in Paris. Vêtements de tous les jours, homeware et accessoires ont ainsi été développés à partir de matières upcyclées. En gros, on y trouve son bonheur !

Cerise sur le gâteau ou plutôt étoile sur le sapin, Maje a anticipé notre retard sur la préparation des cadeaux, en confectionnant les emballages. Emballé, c’est pesé ! 

Un article signé Exaucée Nzoigba.

Cet hiver, la marque italienne PINKO opte pour la durabilité. Rénovation et innovation sont les mots clés. La maison fait donc appel à Patrick Mcdowell, designer britannique reconnu pour son engagement envers la mode durable. La collection est composée de pièces réinventées à partir des invendus de la marque. Une idée plutôt cool, n’est-ce pas ?

Une capsule 100% recyclée 

La mode fait partie ,aujourd’hui encore, des industries les plus polluantes du monde. Sensible à l’environnement, Caterina Negra, directrice de la création de PINKO, décide d’agir à travers cette nouvelle collection. L’objectif ? Diminuer la production et ainsi limiter les invendus. Et ce challenge a déjà porté ses fruits en permettant de récupérer plus de 1000 mètres de tissus. Après un long travail de sélection, dé-construction et reconstruction… Faîtes place à la création chez Pinko. 

Passion pour l’innovation

Il est essentiel de souligner que l’un des points communs majeurs de ces créatifs est leur passion pour l’innovation. Ensemble, ils vont mettre en œuvre des moyens valorisant le concept de la mode circulaire tout en préservant l’esthétique et le charme de la marque. L’ancien élève de Central Saint Martins utilise ses techniques afin de proposer une toute autre vision de la maison et du futur. Blue jeans, bijoux, froufrous, patchwork, franges, strass et paillettes dans cette capsule, il y en a pour tous les goûts.

Un défi audacieux, motivé par l’espoir d’un avenir prometteur. PINKO et Patrick mettront des paillettes dans nos vies fin novembre. Rendez-vous directement sur le site pinko.com.

Un article signé Exaucée Nzoigba.

Closely, c’est une toute nouvelle marque de sous-vêtements et de vêtements de sport. Sa particularité ? Elle est body positive et écoresponsable. 

Filip & Tove, les fondateurs de la marque
Filip & Tove, les fondateurs de la marque – © Closely

Dur à croire ? Et pourtant. Closely est une marque créée par Tove et Filip, qui voulaient « apporter une bouffée d’air frais au monde des sous-vêtements et des vêtements de sport. » Et même si ce genre d’engagement est de plus en plus fréquent, on s’en réjouit ! « Nous créons une marque que nous pensons importante. Nous visons une sensation de liberté : a sense of freedom, dans tout ce que nous faisons. Liberté de bouger. Liberté de se débarrasser des idées poussiéreuses sur le corps féminin », expliquent-ils.

Écoresponsable ?

Marque écoresponsable ou sustainable – pour les bilingues d’entre vous, Closely est très transparente. Elle est « la première marque à rendre l’empreinte carbone de chaque vêtement visible sur notre site sur les pages produits. » Et elle peut se le permettre, comme son émission de carbone est neutre depuis sa création ! De plus, ses vêtements sont composés entre 40 et 80 % de matériaux recyclés, chiffres en hausse. Toutes les pièces sont fabriquées au Sri Lanka. 

Bodypositive ?

Closely est body positive pour plusieurs raisons. Mais ne s’en vante même pas ! D’abord, ses soutien-gorges vont jusqu’au 100E et XL. Les culottes et leggings, jusqu’au XXXL. Ok, peut faire mieux que du E. Mais XXXL, c’est déjà pas mal. Surtout que la marque choisit des mannequins de toute taille, toute forme, tout âge ! Et ça, on valide. 

  • Everyday Top brown et Freedom Hipster brown
  • Bird Brazilian black
  • The Addictive orange et Medium Support Sports Top orange
  • Everyday Top beige et Bird High Waist pink
  • Medium Support Sports Top dusty green

Participative ?

La marque est aussi collective et participative. Elle s’explique : « depuis le début, nous voulions construire Closely collectivement, avec un grand groupe de femmes, des test pilots, que nous consultons et avec qui nous développons nos produits en dialogue constant. Nous avons pré-lancé cette idée de test pilots à Stockholm au printemps dernier, à petite échelle. Une semaine plus tard, nous croulions sous les demandes. Tant de femmes prêtes à créer une nouvelle marque passionnante avec nous !« 

Prêtes à tester ? Vous pouvez faire un tour sur leur site.

Article de Clémence Bouquerod