Dans la série « tout plaquer pour aller faire je ne sais quoi au bout du monde », on tient notre nouvelle meilleure idée ! Cette fois, on vous donne rendez-vous au Baha Mar Resort, aux Bahamas. L’hôtel est à la recherche d’un CFO, ou Chief Flamingo Officer. Enfin un intitulé de poste qui fait rêver…
En gros, le job consiste à trainer toute la journée avec le groupe d’oiseaux roses qui investira bientôt le « Flamingo Mansion » (ou « manoir flamant rose » – tellement Paris Hilton comme concept), installé au sein de ce complexe hôtelier flambant neuf. Bon, bien sûr, cela ne s’arrête pas là. Il faudra aussi prendre bien soin des animaux, et s’occuper de leurs repas ainsi que de l’entretien de leur fameux manoir (un immense espace qui comprendra à la fois des éléments intérieurs et extérieurs, notamment des bassins).
Pour avoir la chance de peut-être rejoindre le Baha Mar Ecological, Aquatic Conservation Habitat Sanctuary, chargé de préserver et protéger la faune de l’archipel (l’endroit accueille déjà une douzaine de requins nourrices, des raies manta ainsi que des tortues vertes), les postulants devront justifier d’un diplôme en zoologie (ou équivalent), ainsi que d’une expérience d’au moins cinq ans à soigner et travailler auprès d’oiseaux exotiques. C’est tout vous ? Foncez, vous n’avez que jusqu’au 28 février 2018 pour
postuler !
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Cependant ne croyez pas que vous pourrez vous la couler douce, en solo avec vos flamingos. Vous aurez plutôt intérêt à vous montrer sociable, puisque vous devrez enseigner aux nombreux clients de l’hôtel, et notamment aux membres du club pour enfants, tout ce qu’il faut savoir sur l’oiseau national des Bahamas.
Mais rassurez-vous, a priori vous aurez tout ce qu’il vous faut sous la main pour bien récupérer après vos dures journées de labeur. Enfin, si vous pouvez vous contenter de 9 piscines, un casino, un golf, et on en passe. Sinon, vous pourrez toujours profiter de votre temps libre pour partir à la découverte de ce petit paradis en plein cœur des Caraïbes. Niveau cadre de travail, on a vu pire…
> Article d’Elsa Raymond