À l’âge de 69 ans, la mannequin canadienne Maye Musk devient l’égérie du magazine Covergirl. Réelle légende dans le monde de la mode, elle a enchaîné les couvertures des plus grands journaux, y compris le Time. Depuis plus de quarante ans, Maye Musk s’est forgé une réputation forte et ne compte pas s’arrêter là.
La mannequin senior Maye Musk est une diététicienne réputée qui n’est autre que la mère du fondateur de Tesla, un constructeur d’automobiles électriques. Après une carrière qui s’étend sur plus de quarante ans, sa carrière prend un tournant lorsque Maye décide d’arrêter de se teindre les cheveux, assumant ainsi sa chevelure argentée. Ancienne égérie de Revlon ou encore de la marque Clinique, c’est aujourd’hui le magazine Covergirl qui met à l’honneur la mannequin canadienne.
Maye Musk n’était pas destinée à une carrière de mannequin, loin de là. Si quelqu’un lui avait dit qu’elle ferait la couverture du Vogue Korea ou roulerait en Tesla vingt ans plus tard, elle n’y aurait pas cru. Et pourtant, le résultat de la famille Musk a tout d’une success story. Installée en Afrique du Sud pour exercer son métier de diététicienne, c’est accompagnée de ses trois enfants que Maye tente de joindre les deux bouts. Quelques années plus tard, elle quitte son pays natal pour rejoindre son fils Elon au Canada, qui deviendra milliardaire par la suite avec la société Tesla Motors.
Si l’on demande à Maye Musk si elle doit son succès à son fils, la mannequin senior ne veut pas en parler. On imagine facilement que la réponse est oui. Lors de la Fashion Week en Corée, Kyeong Ji, l’organisatrice du défilé des jeunes designers coréens dans lequel Musk a défilé, n’a pas hésité à confirmer le fait que « son nom l’aide beaucoup ». En revanche, le succès est largement mérité. Maye Musk dégage une énergie cosmique, et prône sa chevelure argentée avec tant d’allure que sa vocation n’était qu’une évidence. Aujourd’hui, Maye savoure chaque instant de sa nouvelle vie, entre jetset et vie de famille. Elle compte bien travailler encore longtemps, comme elle dit, « jusqu’à ce qu’on ne m’appelle plus ! »
> Article de Stacie ARENA