PRINCESSE TAM.TAM SE DÉHANCHE AVEC LA COLLECTION TAM.TAM SHAKER
Princesse tam.tam dévoile une collection tam.tam shaker pleine de couleurs, d’imprimés et de bonne humeur et avec une offre en prime !
La marque rend hommage à celle qui a séduit le tout Paris et bien au-delà pendant les Années Folles. Celle qui lui a inspiré son nom. La chanteuse et danseuse Joséphine Baker. En effet, la meneuse de revue a tenu le rôle principal du film Princesse Tam Tam d’Edmond T. Gréville. Fidèle à son personnage sur scène, Joséphine Baker y est sensuelle, exotique et admirée par la société parisienne. Dans la nouvelle collection de Princesse tam.tam, elle se retrouve vêtue de sa fameuse jupe de bananes à côté d’un léopard, tel celui qui l’accompagnait sur scène aux Folies Bergères.
Une collection colorée
Le tam.tam shaker c’est un assortiment de pièces colorées, aux imprimés originaux. En plus de Joséphine Baker, des œillets, un imprimé léopard et bien d’autres dansent sur des culottes avec froufrous et des leggings pour sortir. Pour compléter la petite tenue, Princesse tam.tam propose des soutiens-gorge aux couleurs assorties et avec des détails de dentelle.
Princesse tam.tam marque l’occasion avec une offre 1+1= 3. L’occasion de se faire plaisir sur la collection colorée et mélanger les imprimés à réduit. Le personnage sauvage incarné sur scène par l’américaine naturalisée française est vu comme raciste sous la lorgnette de notre époque, mais il n’empêche que Joséphine Baker est considérée comme beaucoup comme une figure incontournable des années folles et a beaucoup œuvré contre les discriminations. Afro-américaine et amérindienne, elle s’est échappée de plusieurs mariages malheureux et s’est engagée dans la Résistance lors de la Seconde Guerre Mondiale.
La collection tam.tam shaker est accompagnée d’une campagne de pub au naturel. Les mannequins ont de la cellulite apparente et des plis du ventre normaux dans des positions assises. Fidèle à l’engagement pris il y a quelques mois par Princesse tam.tam de présenter des femmes sous leur vrai jour.
Article de Juliette Cardinale