MERCI DÉVOILE UNE EXPOSITION DE ROBES À L’OCCASION DE SES DIX ANS
À l’occasion de ses dix ans, l’enseigne Merci propose une exposition de robes créées par ses marques collaboratrices. Jusqu’au 5 mars, vous pourrez contempler leurs variantes offrant une vision de la robe sous toutes ses coutures.
Décalée, conceptuelle, profondément parisienne : l’enseigne Merci a toujours rempli tous les critères pour nous plaire. À travers ses collections successives, elle habille nos intérieurs, nos sacs, et souvent notre corps de ses plus belles pièces.
À l’occasion de ses dix ans, la marque a eu l’idée ingénieuse de rassembler un groupe de créateurs afin que chacun apporte une vision de ce que représente pour eux la pièce fondatrice de notre armoire : la robe.
En dessous d’un chapiteau d’une blancheur légère, poétique et gracieuse, Merci nous présentera la version de cette robe livrée par leurs nombreuses marques partenaires. Tantôt colorées ou sobres, passementées ou brodées, courtes ou longues, cintrées ou amples, les pièces maîtresses de l’exposition – signées Raquel Allegra, Forte Forte, Roseanna, Pas de Calais, Injiri et bien d’autres – plairont à plus d’une.
Notre coup de coeur demeure la version de la robe de la marque Pas de Calais qui laisse rêver à un ailleurs, et nous invite au voyage. Leurs coupes caftans s’imposent comme le signe d’un corps libéré, les couleurs aux reflets dorés, discrètement parés de motifs végétaux et d’entrelacs nous éloignent d’un classicisme rigidifié.
Cette exposition nous enchante d’autant plus car elle permet de mettre en lumière de nouveaux créateurs qui ne sont jamais à court d’idées, et, qui apportent un nouveau souffle dans un univers de la mode de masse qui s’essouffle. De plus, elle est également un moyen de rappeler, une fois encore, les valeurs de l’enseigne qui remercie à travers ce geste ses créateurs collaborateurs, mais également les enfants de Madagascar pour qui la marque s’engage à travers des projets d’éducation et de développement qu’elle finance avec une partie des bénéfices générés.
Article de Yasmine Lahrichi
