FRIDA, OU LA NOUVELLE FACON DE REMPLIR SA GARDE ROBE
Frida vous propose une nouvelle façon d’alimenter vote garde robe. Pour un abonnement mensuel, recevez quatre pièces mode à porter sans modération!

Crédit : Frida
Une nouvelle façon de remplir son dressing
Si vous aimez être à la pointe de la mode, si vous êtes des accros du shopping, et si vous vous posez des questions éthiques : on a la solution. Paulette vous présente une nouvelle façon d’alimenter votre dressing. Frida, c’est le nom du service de location de vêtements imaginé par Make My Lemonade. Avec un abonnement mensuel à 89 € par mois, pour recevoir quatre pièces Make My Lemonade. « Le monde de la mode est en pleine révolution. Comme nos clientes, nous tendons vers une consommation plus responsable. L’idée de Frida est d’offrir une nouvelle manière de s’habiller en Make My Lemonade toute l’année. »
Les petits plus
Frida, c’est donc une manière de changer régulièrement son vestiaire sans dépenser trop et en limitant les achats. Une bonne nouvelle pour notre compte en banque, mais aussi pour la planète et peut-être même pour notre conscience… Si une pièce vous plaît vraiment, il est même possible de l’acheter à un tarif préférentiel et de la garder pour toujours.
Citron sur le gâteau, fini les corvées de lessive ! Vous n’avez pas besoin de laver vos articles avant de les retourner, Frida propose un service pressing qui s’occupe de tout. « Les articles sont lavés avec le plus grand soin et vérifiés avant chaque envoi pour que vous puissiez bénéficier de la meilleure qualité et propreté qu’il soit. »
Comment ça marche ?

1 – Choisissez vos vêtements : parcourez la sélection de vêtements disponibles sur leur site et choisissez ce que vous voulez recevoir.

2 – Portez à volonté : tout au long du mois, profitez de vos articles autant que vous le souhaitez. Assortissez les pièces sélectionnées entre elles ou avec votre garde robe juste avant de les renvoyer.

3 – Renvoyez et recommencez : retournez votre sélection pendant que la marque vous prépare la prochaine
Article de Aurélie Rodrigo