JOHN WENG, LE BISTRO ASIATIQUE QUI SÉDUIT

Crédit : John Weng

Il commence à en pousser un peu partout sur la rive droite. Le dernier né de la famille John Weng ? Un espace logé rue Théophile Roussel dans le XIIe arrondissement. Chez Paulette, on est allés tester son grand frère, dans le Xe, pour voir si la carte est aussi délicieuse en bouche que sur le papier. Spoiler : oui. 

Le petit resto de la grande rue du Faubourg Poissonière ne se remarque pas aux premiers abords, l’enseigne est discrète, mais vaut le coup de se concentrer pour en trouver l’entrée. A l’intérieur, la déco boisée et les détails colorés accueillent chaleureusement les amateurs de bonne bouffe. Car c’est ce que viennent chercher les clients affamés qui passent la porte de John Weng : des plats fins et généreux qui enthousiasment autant les connaisseurs que les curieux en termes de cuisine exotique. 

On s’installe sur une petite table pour deux près de la fenêtre, avec vue sur les terrasses animées, pour feuilleter le menu qui nous donne déjà l’eau à la bouche. On choisit vite et bien : un ceviche de cabillaud, des gyozas aux crevettes, et un sashimi burger au saumon confit et à la crème de wasabi. Côté tentation, on atteint 9/10 (les desserts obtiendront le point manquant).

Crédit : John Weng

Pendant que notre commande se prépare en cuisine, la salle se remplit peu à peu. Les visiteurs sont de bonne humeur et la très sympathique serveuse finit d’égayer le tableau, en plaisantant avec une table qui s’est déhanchée au son de Despacito. On comprend, on était à deux doigts de leur emboîter le pas. 

Les entrées arrivent alors que l’on commande un deuxième Aperol Spritz – été oblige – et la dégustation confirme l’intuition : tout est délicieux. Surtout le ceviche, assaisonné à point. On hésite même à commander davantage d’anti pasti nippons à picorer, mais on se réserve pour la deuxième partie du dîner. Les plats ne tardent d’ailleurs pas à suivre, et subissent le même sort que les assiettes précédentes. Il faut dire que le sashimi burger est un régal. 

Crédit : John Weng

Vient l’heure fatidique du dessert. Aucun doute possible de ce côté là, on se lance dans l’expérience du tiramisu lychee et eau de rose, que l’on décide de partager. Heureusement, car le verre dans lequel il est joliment servi ressemble davantage à un saladier qu’à une coupe. Un peu copieux mais parfait pour l’été.

Après deux heures, on en ressort conquis, et on se promet même de revenir pour tester le tartare de boeuf à la japonaise…

Toutes les adresses à trouver ici : johnweng

> Article de Pauline Machado

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