SARA SHAKEEL, L’ARTISTE STAR D’INSTAGRAM MET EN VENTE SES OEUVRES AVEC BROWNS
Connue premièrement pour ses créations publiées sur son compte Instagram, Sara Shakeel passe au niveau supérieur en proposant une collection vendue chez Browns.
De collages pailletés sur Instagram, aux oeuvres d’art
L’artiste a débuté avec quelques photos collages artistiques. Souvent la photo représente une célébrité, qu’elle retravaille ensuite avec des éléments pailletés, strassés ou en intégrant des oeuvres d’art de la renaissance ou plus contemporaines. Créant alors une photo à l’univers merveilleux, mystique presque fantastique.
Browns x Sara Shakeel
Le concept store luxueux et prestigieux a choisit de présenter quelques unes des oeuvres en taille réelle de Sara Shakeel. Située en plein coeur de Londres, cette exposition permet aux adeptes de son art de pouvoir l’admirer directement, notamment ses créations les plus célèbres telles que son chat recouvert de paillettes, ses burgers et son oeuf au plat en strass, ou bien encore ses poissons rouges volants qu’elle utilise régulièrement. Certaines seront même misent aux enchères lors d’une vente spéciale le 6 décembre prochain. L’univers de l’artiste est parfaitement récréé, si bien que Browns met en vente une collection avec d’autres de ses collages ! Cette fois-ci plus abordables et avec un choix plus large de ses créations.
Une artiste à suivre sur Instagram
Si vous ne passez pas par Londres tout de suite, et que la collection capsule n’est pas une priorité, la team Paulette vous conseille vivement de suivre l’artiste sur son compte Instagram. Ses collages sont magnifiques et assez uniques en leur genre. Elle ne cesse de grandir et de s’améliorer, en proposant de nouvelle variation régulièrement, mais toujours avec cet univers merveilleux que l’on adore ! Quelques exemples pour vous donner envie de cliquer sur s’abonner.
Toute la collection de vêtements est à retrouver ici ! L’adresse de l’exposition à Londres : Browns South Molton 24-27 S Molton St, Mayfair, London W1K 5RD, Royaume-Uni.
Article de Juliette Boulegon