On en rêvait, Desigual l’a fait. Pour se sentir au chaud et avoir envie de s’auto-blottir – pourquoi pas ?, la marque qui ose tout a sorti les Puppets Jackets. Qu’est-ce que c’est ? Des vestes en fourrure synthétique, aux motifs originaux et surtout, que l’on va garder même chez soi car on ne pourra plus s’en séparer… Mieux qu’un doudou, une veste câlinou. 

Desigual

L’hiver s’annonce froid, besoin de s’aimer

Les températures baissent et la lumière se fait plus rare, il faut balancer l’entrée de l’hiver avec une garde-robe fun et colorée. Portées avec un jean ou sur une robe, les nouvelles vestes nounours signées Desigual font le pari de devenir vos meilleures amies. Chaude, aux motifs façon patchwork, pelage solaire ou géométriques, ces vestes sont là pour vous mettre du baume au cœur – et éviter le coup de froid et de blues. On s’y blottit, on s’y conforte et on apprend à se lover dedans. Bien plus douces qu’un petit-ami, on vous le dit… 

Un confort à portée de bras

Elles s’appellent laRizzo, laHairy, laPuppet ou encore laSpicy, ces vestes stylées et réconfortantes sont comme nous, parfois piquantes, souvent joyeuses et bien sûr, poilues… Enfin un peu plus ! De quoi s’habiller le moral et prendre une bonne dose de chaleur et de couleurs. laRizzo a été spécialement conçue par Monsieur Christian Lacroix, avec un imprimé géométrique, facile à porter tous les jours. Quant à laHarry, autant vous dire que vos pulls d’hiver et polaires d’intérieur vont faire la gueule. Elle remplace à elle seule tous les habits que l’on aurait pu porter en confinement ou à l’extérieur l’hiver, si douce et si belle à voir. Notre côté animal ne résistera pas à laSpicy au nom bien trouvé, pour rendre plus sauvage le contexte morose.  

« Mieux qu’un doudou, une veste câlinou ».

Mettons de la joie et de la douceur dans nos quotidiens

La mode ne doit pas être terne ou triste. Desigual, avec ces Puppet Jackets, continue de mettre de la joie et des couleurs dans nos vies. On adore se sentir rassurées par nos vêtements, qu’ils soient originaux et faciles à porter tous les jours. 2020, l’année nounours, l’année des câlins et surtout, l’année des Puppets Jackets pour toutes ! 

Retrouvez toutes les vestes en mode doudou sur Desigual.

La marque de vêtements de sport danoise lance sa nouvelle campagne écoresponsable Conscious Training, dans la volonté d’un avenir plus durable pour la marque. 

Conscious Training est « une capsule entièrement produite à partir de matériaux 100 % durables sous forme de bambou, de polyester recyclé et de coton biologique ».  De quoi ravir les sportif·ves qui cherchent à allier confort et écologie, sans pour autant en oublier sa technicité ! Grâce au bambou, par exemple, les vêtements améliorent la régulation de la température corporelle.

Mais Conscious Training, c’est aussi une collection de vêtements de sports minimalistes, sobres, « fusionnés avec des détails plus contemporains », assure la marque. Hummel a imaginé les imprimés de sa collection automne-hiver en « s’inspirant du paysage urbain ». Au programme ? Du noir, du blanc cassé, du bleu, et de l’or. 

La promesse

Hummel cherche au maximum à être une marque durable. Avec cette nouvelle gamme, « 25 % de la collection Sport Style est désormais écoresponsable. » L’objectif, c’est qu’en 2021, la marque danoise crée une collection composée à 50 % de produits durables et écologiques. « L’industrie du vêtement est bien connue comme étant l’un des plus grands contributeurs au changement climatique. Chaque saison, Hummel a à cœur de faire changer cela avec des bénéfices immédiats pour la faune, les agriculteurs et l’approvisionnement en eau ».

Leur but final ? « Changer le monde par le sport ». Et c’est pour cela que leur « offre durable prend désormais une place centrale dans toutes les collections à venir. »

Convaincu·e·s ? La collection Conscious Training sera à retrouver sur leur site internet. 

Article de Clémence Bouquerod 

La marque brésilienne Havaianas a décidé de réinventer son modèle traditionnel et de le mixer avec le style des sandales japonaises dont ils s’étaient inspirés à l’époque. 

En 1962, Havaianas invente la Tradicional, premier modèle de tong telle qu’on la connaît aujourd’hui. Leur inspiration ? La Zori, sandale traditionnelle japonaise, dont la semelle est faite en paille de riz. Mais le riz, très peu pour Havaianas. Avec la Tradicional, ils avaient déjà eu l’idée du caoutchouc, plus résistant – surtout au vu du climat tropical du Brésil. 

Aujourd’hui

60 ans plus tard, Havaianas décide de rendre hommage à « la tong la plus vendue au monde » et à la sandale japonaiseEt Tradicional Zori ont ainsi donné TradiZori. Tong « unisexe novatrice », la TradiZori répond à la fois à un besoin de praticité, de confort mais aussi de style, grâce à sa « silhouette cubique unique« .  « Le processus de création a commencé lors d’un voyage au Japon où j’ai vu plusieurs personnes porter des Zoris avec des kimonos traditionnels au milieu de Tokyo. Compte tenu de l’origine d’Havaianas et de son lien organique avec la culture japonaise, j’ai immédiatement été inspiré », explique Leonardo Boin Fujisaka, responsable du design chez Havaianas.

Traditional noirs, et chaussettes Havaianas
Tongs TradiZori et Tradicional noirs, et chaussettes Havaianas – © Havaianas

L’avenir

Pour Fernanda Romano, directrice marketing monde pour Havaianas, « TradiZori représente l’avenir de Havaianas. Nous remettons en question l’idée que les tongs ne se portent qu’à la plage et amorçons un changement de perception. Tout en rendant hommage à l’héritage de la marque, cette nouvelle silhouette s’écarte radicalement des styles classiques de Havaianas et introduit véritablement une nouvelle forme d’expression culturelle.« 

En bonus, pour aller avec les Tradizori et surfer sur la tendance claquettes-chaussettes, Havaianas lancé également des chaussettes, « qui s’emboitent comme un gant ».

La Tradizori est disponible en sept coloris, et sur leur site internet. 

Article de Clémence Bouquerod

Au programme de cette collaboration : réédition et mise aux enchères des paires des protagonistes du long-métrage, et collection de prêt-à-porter en exclusivité chez Courir.

C’est une collaboration parfaite pour tous les collectionneurs qui nous lisent. Pour les 25 ans de La Haine, de Mathieu Kassovitz, Reebok réédite et vend aux enchères les trois paires de chaussures portées 25 ans plus tôt par les personnages du film. Peu après, en octobre, la marque sortira aussi une ligne de prêt-à-porter sur son thème. 

Un partenariat évident

Pour Reebok comme pour Mathieu Kassovitz, l’association était « évidente ». Déjà, parce que les protagonistes portaient des Reebok. Mais pas seulement. Selon le réalisateur, « Reebok a été très tôt une marque phare de la nébuleuse du mouvement hip-hop. Accessibles et minimalistes, les paires Reebok étaient l’alternative aux produits plus chers. […] L’association était évidente et simple en 1995, tout comme elle l’est aujourd’hui, 25 ans plus tard. »

La vente aux enchères 

Les paires rééditées NPC Crest OG, Classic Leather OG et NL Paris, noires et blanches
Les paires rééditées NPC Crest OG, Classic Leather OG et NL Paris – © Reebok

Les paires rééditées NPC Crest OG, Classic Leather OG et NL Paris seront disponibles en 25 exemplaires chacune, numérotées et signées par Mathieu Kassovitz. En prime, sachez que la NL Paris a été entièrement redessinée pour l’occasion, à partir des images du film. 

La mise à prix se fera à 120 euros, sur le portail digital de Drouot. Les enchères commenceront le lundi 21 septembre à 10h38 précise, heure à laquelle s’ouvre la première scène du film. Plus que des enchères, cette vente sera un hommage au long-métrage. Une semaine plus tard, les enchères se finiront par trois coups de marteau, portés à 18h22, 20h17 et 22h08, « toujours comme un clin d’œil au rythme de la narration ».

Et en bonus, pour coller aux valeurs du film, Reebok s’engage à verser intégralement tous les fonds levés à l’association ONE, basée à Chanteloup-les-Vignes, qui a pour but d’aider les jeunes « en agissant sur le volet social, l’éducation et l’insertion professionnelle. »

La collection de prêt-à-porter

Dès octobre 2020, vous pourrez également trouver des vêtements, accessoires et paires de chaussures en collaboration avec La Haine, exclusivement chez CourirAu programme :  des pièces sobres, pour coller avec « l’esthétique en noir et blanc de l’œuvre ». 

Pour cette collaboration aussi, Mathieu Kassovitz a eu son mot à dire : « être pleinement impliqué en participant au design des produits m’a permis de donner un vrai point de vue sur la collection. »

Jusqu’ici, tout va bien. 

Article de Clémence Bouquerod

Durant le confinement, alors que certains s’acharnaient à tenter mille et une recettes aux fourneaux, que d’autres usaient du télé-travail ou bullaient devant leur programmation Netflix, un binôme taïwanais de choc n’avait pas le temps de s’ennuyer avec son Odyssée fashion. En route pour découvrir un projet so swaggy.

Il était une fois…

Il était une fois, monsieur Chang et madame Hsu, mariés depuis 1959 et heureux parents de deux garçons ainsi que de deux filles. Travailleurs dans l’âme, ils ont fait de leur laverie – blanchisserie « Wansho Laundry » dans le centre de Taïwan, un véritable lieu de vie, se constituant une clientèle fidèle. Jusqu’ici, rien de bien original…. mais le coronavirus passe par là et une idée détonante vient frapper leur esprit.

Un projet fou

Les deux octogénaires à la démarche élancée donnèrent une seconde vie aux vêtements laissés pour compte durant cette période difficile. Chemisiers, jupes ou pantalons vinrent se greffer sur les modèles d’un jour, dans un élan original et fun, et un décor novateur avec la laverie pour seule et unique toile de fond. On devient de suite admiratif des compositions effectuées par les deux fashionistas et on en redemande !

Fort de son succès, le duo compte dorénavant plus de 136 000 adeptes dans le monde ! Au-delà des simples clichés Instagram postés, c’est bel et bien la morale mise en avant qui toucha et touche encore le public.  

Quel que soit le problème soulevé : sanitaire, social ou même géopolitique, on a tous, par moult biais différents, la possibilité d’apporter une pierre à l’édifice et ainsi rendre le monde plus agréable à vivre au quotidien.